La
radio - Lexique des genres médiatiques
Annonce-amorce
(teaser)
Quelques mots et/ou images diffusés en ondes dans le but
d'aguicher les auditeurs, d'exciter leur curiosité et de
développer leur intérêt pour une émission ou un segment
d'émission devant être diffusé ultérieurement sur les ondes
d'une station de radio ou de télévision.
Bordure
Met en évidence certains articles en plus d'embellir la
page.
Cabochon
Vignette de petite dimension, généralement plus étroite
que la colonne, et ne la dépassant en aucun cas, qui sert
de séparation dans un texte.
Conducteur
Document écrit qui indique l'ordre, la durée et le traitement
de tous les sujets d'un bulletin d'information télé ou radio.
Il est utilisé par les personnes qui s'occupent de le réaliser.
Dessins,
tableaux et graphiques
Dessin d'actualité, dessin politique, caricature, bandes
dessinées (cartoons) jouent un rôle d'information, de commentaire
et de divertissement. Ils ont valeur d'illustration ou peuvent
même tenir lieu d'article à part entière.
Les
tableaux, schémas, cartes et graphiques viennent visualiser
certaines données. Dessins didactiques, ils présentent des
synthèses, des explications, sous forme de diagrammes, courbes,
tableaux, plans, planisphères… Ils jouent un double rôle
de simplification (ils visent à l'efficacité) et de mémorisation
(leur précision et leur concision en font des éléments de
choix pour les banques de données documentaires). Depuis
la généralisation de l'ordinateur, ce type d'information
est appelé infographie.
Effets
sonores
Bruits généralement produits artificiellement dans le but
de créer une impression particulière ou d'attirer l'attention
de l'auditeur ou du téléspectateur.
Exergue
Il s'agit du titre placé au-dessus du véritable titre de
l'article. Il permet au lecteur de situer dans un contexte
précis le sujet abordé.
Fond
musical
À la radio, il s'agit d'une musique d'accompagnement d'un
message, publicitaire ou non, de façon à créer une ambiance,
sans voler la vedette à la voix de l'animateur.
Générique
Premières images et premiers sons qui nous sont donnés,
le générique est le moment d'ouverture d'une émission télévisée.
Les formules varient d'une chaîne à l'autre et en fonction
du genre et du sujet de l'émission.
Gros
titre
Titre en gros caractères placé au-dessus d'un article.
Habillage
Ensemble des éléments sonores (thème musical) et visuels
(pour la télévision) qui identifient une chaîne de télévision
ou une station de radio.
Indicatif
Message diffusé en ondes afin d'identifier une station de
radio ou une chaîne de télévision, un réseau, une émission
ou un animateur. L'indicatif sera généralement musical,
parlé ou chanté. À la télévision, il sera accompagné du
logo (logotype) et d'images animées représentatives de la
chaîne.
Infographie
Elle désigne les images de synthèse (créées à l'aide de
logiciels informatiques) utilisées dans les journaux, les
sites web et à la télé. Les infographies servent à illustrer
des informations abstraites (comme des statistiques) ou
à rappeler le thème ou les acteurs de la nouvelle (par ex.
un logo en encadré derrière le/la présentateur/présentatrice
à la télévision).
Intertitre
Texte court (deux à cinq mots) souvent pris dans le texte,
mis en évidence typographiquement (grosseur de la police).
Il doit attirer l'attention, éveiller la curiosité du lecteur.
Jingle
(refrain ou ritournelle publicitaire)
Mélodie vantant un produit ou un service à des fins publicitaires.
Langage
des chiffres et des nombres
Les médias utilisent beaucoup les chiffres et les nombres
pour répondre à la question " combien ". Les informations
des médias nous font entrer dans le monde des probabilités,
des fractions, des pourcentages et dans celui de la comparaison
entre des quantités différentes. Ils recourent aux décimaux
et aux pourcentages, aux nombres approximatifs, aux statistiques,
à des tableaux de données et à des graphiques, à des chiffres
qui attirent l'attention dans les manchettes, qui nous donnent
des indices de croissance, etc.
Langage
des mots
Le langage des mots est celui par lequel il nous est possible
de nommer une réalité, d'exprimer des idées, d'organiser
une pensée et de nous faire comprendre. Les mots sont des
repères communs à toute une société, à une culture et à
des groupes sociaux, qui permettent de savoir si ce qui
est écrit ou dit désigne bien la chose dont on traite. On
a besoin d'eux pour fixer le sens d'une information, même
lorsque celle-ci ne nous est transmise qu'avec des images
ou des sons.
Les
mots offrent une variété sans égale de combinaisons pour
décrire une réalité. Ils permettent de présenter une information
en faisant emploi de synonymes, de litotes, de métonymies,
d'allégories…
Si le langage écrit est tout particulièrement présent dans
la presse, tous les médias y recourent à un stade ou à un
autre de leurs productions. Les nouvelles qui nous sont
communiquées à la télévision et à la radio, les présentations
des animateurs et des commentateurs, les publicités et les
fictions ont d'abord été écrites.
Langage
gestuel
Par les milliers de postures et d'attitudes qu'il permet,
le corps humain vient enrichir le contenu des informations
qu'on nous donne à voir. Le non-verbal est présent partout
dans les communications. Les formes qu'il revêt sont multiples.
Même s'il se modifie au fil des ans, le langage gestuel
est une technique d'expression omniprésente dans les photographies
et bien entendu dans tous les médias qui nous présentent
des images animées.
Langage
médiatique
Les informations sont toujours le résultat d'une combinaison
de langages ou de signes écrits, vocaux et sonores, gestuels,
graphiques et visuels à l'intérieur d'un espace et d'une
durée. Ces différents langages constituent le langage médiatique.
Ils sont des techniques d'expression qui obéissent à des
codes et à des conventions. Ces langages sont amalgamés
à l'intérieur des différents formats liés aux technologies
qui servent de support à chaque média.
Langage
radiophonique
Le langage radiophonique réunit l'ensemble des éléments
sonores mis à contribution pour construire une programmation
et les divers contenus de ses émissions : la voix, la musique
et les effets sonores. C'est la réunion de ces éléments
qui construisent le sens des informations communiquées par
la radio. Le ton de la voix (familière, intime, personnelle,
distante, neutre, etc.), le " rythme de l'animation
(débit et pause), des commentaires et l'enchaînement des
divers contenus, l'ambiance sonore distinctive (" couleur
" du son et des voix) de la station radio, les effets sonores
créés artificiellement pour représenter des sons et des
bruits naturels, le langage parlé, les types de musiques
(folklore, variétés, classique, etc.), les répétitions,
le volume, la clarté et l'intensité du son, etc. De façon
générale, les mots, les phrases sont simples et brefs, choisis
pour être entendus rapidement et pour être souvent répétés.
Langage
sonore
Dans les médias parlés comme la radio et la télévision,
les mots, d'abord écrits, sont ensuite communiqués verbalement.
Cette communication fait appel à la voix et aux différents
sons qu'elle peut émettre. Le ton de la voix, la vitesse
du débit, l'accent mis sur certains mots plutôt que sur
d'autres, la prononciation et même les silences sont des
éléments qui viennent donner une connotation particulière
à l'information que l'on reçoit.
L'importance des sons dans les médias est souvent sous-estimée.
Son étude est souvent limitée à la musique qui sert à soutenir
l'attention, à ponctuer un passage, à accompagner ou à modifier
des images. On tend à négliger les autres aspects du son
: les bruits et les bruitages, qui renforcent l'impression
de réalité, accentuent la mémorisation; la parole qui, si
elle contient le message proprement dit, contribue aussi
à créer un climat, à ancrer le sens de l'image ou plus simplement
de l'information que l'on communique.
Le son a un pouvoir sur l'imagination. Si notre oreille
filtre certains bruits, elle ne dispose pas, comme notre
œil avec la paupière, d'un rempart physique intercalable
à loisir entre elle et le monde des sons. Découvrir l'influence
des sons sur l'affectivité, sur la part moins consciente
de nous-mêmes, c'est aussi apprendre à lire les informations.
Langage
télévisuel
Les langages verbal, visuel et sonore se conjuguent pour
donner une personnalité à une émission de télévision et
contribuent en même temps à colorer le contenu des informations
qui en résultent. Le commentaire suivant d'un critique de
télévision, que nous avons quelque peu modifié, le souligne
bien.
" En général, ça marche assez bien dans cette émission d'entrevue.
L'animateur réussit, en moins d'une demi-heure à faire le
tour de son sujet. Ça se veut dynamique et nerveux. Il a
son style. Il va droit au but, ferme dans ses convictions,
sérieux comme un pape, attentif et concentré, réduisant
au minimum les adresses au téléspectateur. Et puis il y
a la musique, criarde à souhait, et le décor du studio,
de style " lendemain d'Apocalypse ", qui viennent appuyer
le sentiment d'urgence de chaque entrevue. Il y a les caméras
aussi, qui jouent à déstabiliser le téléspectateur en variant
les points de vue sur l'invité : deux tours à droite, un
tour à gauche et on recommence. Au milieu de cette mise
en scène, détonne la figure ronde de l'animateur. L'émission
n'est pas toujours réussie, mais elle possède indéniablement
sa personnalité. "(Adaptation de la conclusion d'un article
de Vincent Desautels, " Le dénommé Arcand ", chronique Télévision,
journal Le Devoir, cahier B, page 7, mardi 29 mai
2001).
Langage
visuel
La disposition des articles, le titrage, la typographie,
les photos et les couleurs dans les publications écrites,
les images en mouvement, les gros plans, les effets spéciaux
et le décor d'une émission de télévision font tous appel
à un langage visuel qui nous est donné à percevoir en même
temps que nous lisons ou écoutons des mots.
Légende
( ou bas-de-vignette)
Texte court accompagnant une photo, un dessin, un graphique…
lui donnant une signification, une explication. La légende
peut être informative (décrit le contenu de l'image), incitative
(développe une information autonome afin de provoquer une
réflexion) ou encore explicative (va au-delà de l'image
et du texte).
Logotype
Dans le domaine traditionnel de l'imprimerie, ce terme désigne
un groupe de lettres fondues en un seul bloc pour accélérer
la composition typographique. Même si l'on recourt aujourd'hui
à de nouvelles technologies, on utilise encore ce terme
lorsque l'on fait référence au nom d'un journal. Le " logo
" d'un quotidien, c'est donc son nom. On retrouve l'équivalent
à la télévision, à la radio comme sur les sites web.
Manchette
C'est le titre, en première page et en gros caractères,
de la plus importante nouvelle d'un journal. En début d'émission
d'un journal télé ou radio, les manchettes servent à annoncer
en quelques mots (et images pour la télévision) les principaux
sujets de l'émission. Elles y tiennent alors le rôle de
sommaire.
Maquette
La maquette est la conception visuelle d'une publication
écrite. La présentation typographique, les images, la mise
en pages et le contenu rédactionnel d'un journal sont intimement
liés et s'influencent mutuellement. Tous les éléments ont
une importance, depuis la forme de la lettre jusqu'aux masses
dont la géométrie et la répartition définissent la composition
des pages. Pour le lecteur, ils contribuent à attirer son
attention, à faciliter sa lecture et l'aident à se repérer.
De la " Une " à l'article, l'ensemble de la surface du journal
est ordonné, structuré. L'accès aux différents centres d'intérêt
du journal est facilité et guidé par cette structuration
qui caractérise toute publication. L'organisation de l'espace
fait appel à un ensemble d'éléments visuels dont l'attrait
et la cohérence résultent d'un équilibre esthétique entre
les textes (caractères, colonnes), les illustrations (taille,
emplacement), les couleurs. Elle fait appel à la maquette
et à la mise en pages.
À chaque
édition, le concept visuel qui assure la stabilité de l'image
d'une publication écrite (et numérique) et sa personnalité
est mis en oeuvre selon les sujets abordés. La maquette
est déterminée par le format de la publication et elle prévoit
la typographie, l'aspect des pages, notamment le logotype,
la " Une " ou la page couverture, les sections, etc. Elle
établit à l'avance les éléments stables qui assurent la
lisibilité d'ensemble et entraînent des habitudes de lecture.
L'allure générale, d'une édition à l'autre, doit être constante
pour favoriser sa distinction et permettre au lecteur de
trouver instantanément ses repères. Les rédacteurs et les
journalistes, les chefs de pupitre et les maquettistes sont
donc obligés de respecter cette trame plus ou moins stricte
selon les publications.
La
maquette nous donne la " structure " de la publication.
Une manière de comprendre la structure d'un média écrit
est d'en consulter le sommaire, de s'arrêter aux titres
des différentes pages, aux sections ou cahiers. Chaque média
détermine et organise le contenu de ses pages selon son
format et son volume, sa périodicité, son orientation et
le public qu'il veut atteindre.
Mise
en pages
La mise en pages est le montage des textes et des images
(dessins, photos, graphiques, tableaux…), la " mise en scène
", le positionnement, la mise en valeur des articles et
la hiérarchisation de l'information ou du contenu rédactionnel
par certains procédés. La mise en pages n'est jamais innocente,
fond et forme sont liés. La présentation est en accord avec
l'information qu'on veut communiquer. On peut prendre conscience
de cet aspect en comparant les façons de présenter une même
information par différents médias.
Montage
Le montage consiste à ordonner et à mettre bout à bout différents
plans obtenus lors de tournages. Pour produire un sujet
d'une à deux minutes, on dispose habituellement de quinze
à trente minutes de tournage. On peut aussi intégrer des
éléments supplémentaires comme des effets spéciaux, des
illustrations, ou encore les commentaires de la /du journaliste.
Le montage
permet de créer un nouveau document à partir de sources
multiples qui n'ont quelquefois rien à voir ensemble. Monter,
c'est choisir; ce qui fait qu'avec les mêmes rushes,
un monteur pourrait faire d'une manifestation un peu agitée
une vraie révolution et d'une poubelle qui brûle le témoin
provoquant d'un incendie allumé par des manifestants.
Photographie
Les photos fixent une situation afin de nous fournir
des informations supplémentaires, de stimuler notre intérêt
ou de nous amuser. Une photographie bien choisie et bien
placée incite à la lecture d'un texte (un article, une publicité…).
Elle peut donc jouer plusieurs rôles à la fois : tout dépend
de l'intention du photographe et de l'éditeur, du fait qu'elle
accompagne ou non un article, de la place qu'elle occupe.
Plan
(images télévisées)
La notion de plan recouvre deux significations : l'espace
filmé par la caméra et la durée durant laquelle la caméra
a filmé en continu et qui a été conservé pour le montage.
Les échelles de plan sont des conventions, des repères.
Le plan général (PG) regroupe la totalité de l'espace, le
plan moyen (PM) montre un individu et son environnement
proche, le plan américain (PA) s'arrête à mi-corps, le plan
rapproché (PR) va jusqu'à la poitrine. Quant au gros plan
(GP), il s'attache au visage. L'insert (IN) est un gros
plan sur une autre partie du corps.
Filmer
un individu en plan général ou en plan moyen, c'est diluer
son discours dans le visuel de son environnement. À l'inverse,
le prendre en gros plan, c'est lui donner de l'importance,
à lui et à son discours; c'est le faire voir de très près
au téléspectateur et l'inciter ainsi à établir un lien avec
lui. La distance personnelle et intime est largement privilégiée
à la télévision. La durée d'un plan de caméra est un élément
essentiel : montrer un objet cinq secondes permet une autre
appréhension que de le montrer une seconde - mais ce n'est
pas une valeur absolue. Aussi importante est la valeur relative
des durées précédentes et suivantes : un plan de deux secondes
paraîtra long dans une suite de l'ordre de la demi-seconde
et court dans une de huit à dix secondes. La durée est signifiante
en soi; elle est aussi un signe d'importance de l'émetteur
au récepteur au même titre que la typographie grasse pour
l'écrit ou l'accentuation à l'oral. La durée des plans renvoie
directement au montage. Mettre fin à un plan, c'est en commencer
un autre, et la télévision, qui émet sans interruption,
n'est plus qu'une succession de plans.
Plan
américain
Plan où les acteurs sont cadrés à mi-corps. On voit la tête,
la poitrine, les bras et les mains. C'est le plan qui sert
notamment à cadrer le/la présentateur des TJ (téléjournaux).
Plateau
en situation
À la fin d'un reportage (parfois pendant le reportage),
on voit le journaliste qui s'adresse directement aux auditeurs,
micro en main, du lieu même des événements qu'il vient de
rapporter. Souvent suivi par la présentation du/de la journaliste
(son nom et le lieu d'où il/elle parle).
Renvoi
C'est l'indication de la page, ou du cahier et de la
page, dans laquelle le lecteur pourra retrouver soit un
article annoncé par un titre ou la suite d'un article commencé
en première page.
Rubrique
C'est le titre qui indique le sujet dont traite un élément
du contenu du journal. Ce terme s'applique à des éléments
du contenu rédactionnel et publicitaire du journal. Les
rubriques sont révélatrices de l'orientation du journal,
des domaines auxquels il s'intéresse. Elles concrétisent
les fonctions du journal : information, divertissement,
service.
Titre
Un titre veut en dire le plus possible avec le minimum de
mots, tout en provoquant notre intérêt, en nous incitant
à lire l'article qu'il présente et identifie. Le titre a
donc un double rôle, soit d'informer et d'inciter; l'importance
de ces rôles varie d'un titre à l'autre. Il doit donc être
fidèle aux faits et posséder un potentiel de persuasion.
Les éléments incitatifs correspondent aux éléments " accrocheurs
" qui peuvent être un détail insolite, bizarre, excitant,
intrigant, nouveau, pouvant faire réagir les lecteurs. Généralement,
les titres sont simples, précis, formulés dans un style
direct : les verbes sont conjugués le plus souvent au présent,
la ponctuation ainsi que certains mots sont souvent escamotés
: certaines figures de style sont privilégiées (allitération,
métaphore).
Titre
en vitrine
Plusieurs journaux en placent à la " Une ", sans les articles
qu'ils chapeautent, afin de montrer aux lecteurs ce que
le journal a à leur offrir " en primeur " ce jour-là. Le
journal annonce donc à l'aide de titres " en vitrine " son
contenu du jour. Souvent, ils forment un ensemble encadré,
où ils sont rédigés l'un à la suite de l'autre, avec la
mention de leurs positions respectives à l'intérieur du
journal. Parfois, ils sont accompagnés du préambule (premier
paragraphe) de l'article qu'ils identifient ou d'un résumé
de cet article. Il est également possible de retrouver des
titres " en vitrine " sur les premières pages des autres
cahiers ou section du journal.
Typographie
La typographie est l'ensemble des techniques et des procédés
permettant de reproduire des textes par l'impression d'un
assemblage de caractères en relief. De manière générale,
les articles et différents textes d'un média écrit sont
traités de manière uniforme. Néanmoins, on peut également
jouer sur les différentes caractéristiques des caractères
typographiques afin de mettre l'accent sur un élément en
particulier. Ainsi pourra-t-on faire varier la casse des
lettres (majuscule ou minuscule), la police employée (Times,
Helvetica, etc.), la taille (10 points, 12 points, etc.)
et le style (romain, italique, gras, souligné, etc.), pour
ne nommer que ces variables. La composition du journal,
la disposition des différents textes en colonnes, en multicolonnes
ou en pleine page donnent une indication supplémentaire
sur l'information, son contenu, son importance et sa valeur.
Vignette
Motif ornemental, illustration.
Haut
de page
|